Elle prend goût au triolisme

Le 26 octobre 2013

Ce soir-là, nous avons bravé les intempéries pour nous rendre à une soirée Halloween. Enveloppée dans une longue cape de chauve-souris et coiffée d’un couvre-chef digne d’un professeur de Poudlard, Elle portait un joli haut “tour de cou” lacé dans le dos. Dessous se cachait une guêpière noire de tulles et de cuir soutenant des bas opaques ornés d’un petit noeud sur l’arrière de chaque cuisse. Seul un mini short – plutôt shorty d’ailleurs – cachait son entrejambe épilée en ticket de métro mais laissant apparentes les jarretières.

Sur la piste de danse, j’étais – à mon habitude – à l’affût des hommes semblant lui porter intérêt. L’un d’entre eux s’approcha à son insu, dansant les mains écartées de part et d’autre de son dos. Je me collai à Elle la poussant peu à peu vers cet inconnu qui commenca à l’effleurer des hanches aux cuisses. Passé l’effet de surprise, Elle comprit que je venais de la jeter dans les bras d’un autre et se laissa peloter sur la piste de danse, blottie dans mes bras. Ce concerto à quatre mains courant de ses seins à son cul lui arracha de multiples gémissements. L’excitation d’être ainsi caressée à la vue et au su de tous l’empêcha de protester lorsque je descendis son shorty, offrant sa fente humide aux doigts agiles de notre partenaire de jeux érotiques.

Ce dernier nous proposa alors de nous isoler dans un salon; Elle le suivit sans la moindre hésitation. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, sa cape et son shorty volèrent et Elle se retrouva entre deux hommes nus et durs de désir pour son corps de déesse. Notre “ami” se glissa entre ses cuisses, lui léchant hardiment le clitoris. Les halètements se transformèrent rapidement en gémissements et, ma queue dans la bouche, Elle jouit une première fois sous ses assauts linguaux. J’invitai alors son nouvel amant à la prendre ce qu’il fit visiblement assez bien pour la faire crier de plaisir, décuplant ainsi mon excitation et attirant quelques curieux et curieuses. Elle s’offrit à lui en levrette tout en me suçant au rythme de ses multiples orgasmes. Nous finîmes cette chevauchée fantastique dans notre position préférée, Elle sur le dos, ses pieds sur mes épaules, moi la baisant puissamment. Lorsqu’Elle sentit le sperme chaud de notre partenaire lui arroser la joue, les cheveux et le cou, son orgasme fût d’une telle intensité qu’Elle m’inonda les couilles de sa jouissance, trempant le matelas heureusement rompu à ces “mauvais” traitements. Comme à chaque foi que cela se produit, cette sensation me procura un frisson de plaisir et je me vidai en Elle en un râle rauque.

Merci à lui pour ce beau moment…

3 réflexions sur « Elle prend goût au triolisme »

  1. Quel moment de partage et de confiance avec cet homme. on imagine le peu de paroles échangées et malgré tout, la jouissance est là.

    Que madame accepte etre aspergée sur le visage, les seins, ne me laissent vraiment pas indifférent.

  2. Bonjour !!!
    Non seulement la maîtrise de l’exercice mais aussi celle du récit trés bien écrit…bravo !!!
    Merci
    nino

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