Ce vendredi après-midi nous roulions sur l’A46. À chaque poids lourds que je m’apprêtais à dépasser, Elle sortait ses seins pour les montrer au chauffeur. La circulation étant dense, j’avais malheureusement du mal à rester à hauteur des cabines suffisamment longtemps pour attirer l’attention. Je dépassai rapidement quelques camions étrangers et me portais à hauteur d’un français, immatriculé 69 de surcroit. Profitant que personne n’arrivait derrière, je me calai juste à ses côtés et Elle exhiba sa poitrine plus longuement. Le chauffeur jeta un premier coup d’oeil, puis, la surprise passée, un second. Elle lui fit un petit signe de la main. Il la matait désormais ouvertement. Un véhicule arrivant rapidement derrière nous, je me rabattis devant le poids lourds ralentissant pour qu’il ne nous perde pas de vue. À l’approche d’une sortie, je mis le clignotant à l’avance. M’engageant sur la bretelle et je vis le camion hésiter et finalement sortir derrière nous. Cette petite hésitation me confirma qu’il ne nous suivait pas par hasard. Au premier rond point je m’engageai sur un chemin; trop boueux pour le poids lourds qui me fit un appel de phare et pris la direction suivante. Un rapide demi tour et je le retrouvai arrêté à la sortie du carrefour, au bord de la route. Je me garai derrière et à peine sortis de la voiture nous vîmes le jeune routier s’approcher. Je lui demandai très directement s’il avait aimé la vue. Il acquiesça évidemment en nous demandant si nous étions libertins. Il nous invita dans sa cabine mais nous étions au bord d’une départementale très fréquentée ce qui faisait nettement monter l’adrénaline. Il nous proposa de fermer les rideaux et après quelques échanges sur l’exhib et le libertinage Elle ôta le haut pour lui montrer sa poitrine de plus près. Il s’empressa de la caresser et s’assit à ses cotés sur la banquette. Il enleva son pantalon et son caleçon offrant sa bite dressée aux main de ma femme. Elle le masturba un peu et le pris vite en bouche pour lui offrir une belle fellation. Le jeune homme exprima son regret de ne pas avoir de capote (et nous aussi d’ailleurs). Elle le repris en bouche pour faire monter son excitation et lui demanda de lui gicler sur les seins. Il ne tint pas longtemps et lui balança au moins six ou sept jets sur tout le corps. Alors qu’Elle s’essuyait et se rhabillait, il nous suggéra de filmer nos aventures : nous révélâmes alors l’adresse de notre blog. Nous espérons d’ailleurs qu’il lira ces lignes et nous laissera un petit commentaire en souvenir de ce bon moment d’improvisation totale (au point que nous n’avions ni appareil photo, ni GoPro… Ni même de capote ou lingette !)
Archives de catégorie : Histoires libertines
Vendredi 8 juillet 2022
En passant
Ces derniers temps nous improvisons de plus en plus nos plans coquins. Nous avons donc développé nos techniques d’accroche des hommes seuls, dont nous ignorons s’ils sont libertins ou pas. Cette incertitude induit un stress et amplifie l’excitation. Voyant régulièrement des sujets de discussions sur l’exhib et le dogging et notamment des couples qui aimeraient essayer mais trouvent cela compliqué, nous allons faire un petit effort pour partager nos astuces qui pourraient vous servir… J’adopte délibérément un style épuré pour montrer à quel point les choses peuvent être simples mais soyons honnêtes, ce n’est simple pour personne et ça ne marche pas à tous les coups.
Dans la semaine, nous avons été contacté par un couple sur BobVoyeur : cplegs. Ils avaient repéré notre annonce de recherche de couples aimant les mêmes jeux que nous pour s’amuser à plusieurs. Rendez-vous fut pris pour commencer la soirée au Before Kafé. Notons que nous y avons très bien mangé ! C’est un lieu original qui évolue sans arrêt et dans le bons sens. Nous avons passé un super bon moment, très amical, entre rires, partage de lieux coquins et discussions plus sérieuses. Quand le Velvet (le club libertin adossé au Before) a ouvert ses portes nous y avons fait un petit tour mais la soirée étant exclusivement couple (et ce n’est pas notre truc) nous avons lâchement abandonné cplegs pour tenter un dogging improvisé.
Nous sommes partis au petit bonheur la chance du côté de Gerland. Les points négatifs de ce quartier sont une forte présence de camionnettes de « professionnelles » dans certaines rues et le fait que de plus en plus de parkings sont fermés pour éviter « qu’il s’y passe des choses… » (#coup2gueule : à force de fermer tout partout on se retrouve tous entassés comme des poulets cochons élevés en batterie ce qui crée inévitablement un mélange des genres et donc des tensions !)
Le Dogging pour les Nuls !
Pour réussir un dogging il faut commencer par attirer l’attention d’un ou plusieurs hommes. Notre technique consiste à tourner dans le quartier en voiture, à vitesse réduite, de parking sombres en impasse désertes. Il faut faire preuve de patience; ce sont ces multiples allées et venues qui font que ceux qui cherchent finissent par repérer notre voiture et commencent à nous suivre plus ou moins ostensiblement. Il faut être très attentif et prendre des repères pour distinguer les véhicules qui tournent aléatoirement de ceux qui nous pistent réellement. Certains messieurs se découragent très vite. Il faut donc faire en sorte de ne pas être perdu de vue et ne pas hésiter à s’isoler rapidement dans un coin plus sombre où l’autre pourra s’approcher en mode fenec. Last but not least : il faut oser aborder l’homme qui vous suit pour lui proposer très simplement et directement ce dont vous avez envie. Sans cela vous repartirez bredouilles neuf fois sur dix ! Prenons l’exemple d’hier soir :
Je repère assez vite une trottinette électrique qui navigue aussi en jetant parfois quelques regards vers nous . Je me gare à l’entrée du parc de Gerland, une impasse assez bien éclairée. Je coupe le moteur et j’éteins les phares. Elle descend son haut pour dévoiler ses seins dans la demi-pénombre de la voiture. La trottinette fait des va-et-vient mais n’ose pas approcher. Je redémarre et pars à vitesse réduite. Je vois le deux roues nous suivre à distance. Je nous gare tout au fond d’un autre parking, la voiture orientée pour voir l’entrée et de manière à ce que le potentiel voyeur puisse s’approcher du côté passager sans être vu de la rue (un homme debout à côté d’une voiture attire énormément l’attention des autres). L’homme s’approche petit à petit mais ce n’est pas très franc : nous avons même un doute qu’il cherche quoique ce soit. Je caresse les seins de ma femme sans vraiment savoir ce qu’il voit à cette distance avec aussi peu de lumière. Il finit par passer à trois mètres de la vitre passager et je le vois dans le rétroviseur s’arrêter dans notre angle mort. Je sais alors qu’il ne va pas tarder à venir mater. Le lieu étant trop à découvert pour un dogging, je me prépare à l’aborder… Malheureusement, une grosse cylindrée vient se garer à dix mètres et un couple en descend avec un sac de fast-food (mais quelle idée de bouffer un hamburger debout sur un parking à 23h30 ?). Notre voyeur potentiel fuit, retournant à l’entrée du parking. Je redémarre alors et m’approche de lui : j’ouvre la fenêtre et lui demande cash « Tu veux mater ? Tu veux en voir plus ? ». Il acquiesce et je lui dis de nous suivre jusqu’à un petit coin bien plus isolé. Je l’entraine jusqu’à un dernier parking (normalement interdit d’accès mais souvent ouvert; une bonne connaissance du quartier est primordiale dans le dogging) et là les choses sérieuses peuvent enfin commencer. J’ouvre la vitre; Elle exhibe ses seins et sa chatte; j’invite notre partenaire à toucher : il la doigte pendant que je lui tète les seins. Je suggère à ma femme d’ouvrir la portière; Elle saisit alors sa queue et le masturbe. Je descends contournant la voiture pour admirer la scène de plus près. Je la vois se pencher et sucer cet inconnu pendant qu’il lui caresse les seins. Je l’encourage à bien le pomper, la traitant de salope; je demande à cet homme s’il aime et lui révèle qu’Elle adore faire la pute comme ça. Utiliser ainsi un langage cru est très excitant pour nous trois. Elle nous suce en alternance, gardant toujours la queue de l’autre en main. Avec la faible lumière ambiante, sa bite ne me parait pas très grosse alors je tends la main pour vérifier et même si elle est effectivement courte et fine, je la trouve extrêmement dure ce qui me rassure sur l’effet que ma femme lui fait. Il saisit l’occasion pour me toucher à son tour et se penche même pour gober mon gland. Visiblement, le fait de me sucer fait monter son excitation à son paroxysme et il se met à gicler sur Elle. La voyant ainsi souillée, je sens mon plaisir monter et j’explose à mon tour dans le cou et sur les seins de ma femme.
Un demi paquet de mouchoirs en papier plus tard, nous discutons un peu de l’évolution du quartier en quête d’infos et de lieux dont nous ignorerions peut-être l’existence mais nous connaissons visiblement mieux le « Lyon Hot » que lui. Nous nous quittons sur les traditionnels remerciements mutuels et repartons, comme souvent, sans même connaître le prénom de celui qui vient de se vider les couilles sur Elle.
Samedi 21 août
Autant vous prévenir tout de suite, vous ne verrez ni photo, ni vidéo de cette expérience alors je vais essayer de mettre en mots ce que je mets d’habitude en images.
Nous commençons la soirée dans un bon restaurant. Pour l’occasion Elle porte une robe noire courte et très décolletée avec de jolis talons aiguilles rouges carmin. Dès qu’Elle se penche le tissu s’écarte largement dévoilant ses deux seins jusqu’aux tétons. Après avoir bien mangé et bien bu, Elle me dit vouloir “s’amuser un peu”. Je sais ce qu’Elle veut et prends donc la direction du quartier Gerland. C’est un coin réputé pour ses parkings où trainent aussi bien des homosexuels en quête de rencontres d’un soir que des couples exhibitionnistes et des prostituées. Malgré (ou à cause de) cette très ancienne réputation, nous n’avons jamais fait quoique ce soit là-bas. Mais ce soir-là je décide de pousser le jeu un peu plus loin et de prendre le temps de ferrer correctement un ou deux poissons.
Nous commençons par un petit tour au Palais des Sports; sur son immense parking nous croisons bien quelques voitures mais elles semblent nous ignorer. Nous repartons en direction du parc Gerland qui, à notre grande surprise, est encore ouvert : nous avons bien envie d’aller y faire l’amour mais après lecture attentive des panneaux il ferme dans une demi-heure. Profitant des nombreuses places libres devant l’entrée, je coupe le moteur; nous nous embrassons, nous nous caressons, tout en guettant si des gens approchent. Nous aimerions bien qu’un ou deux hommes passent mais nous faisons très attention car des voix d’enfants émanent du parc. Je remarque quelques voitures qui entrent et sortent d’un tout petit parking particulièrement sombre. Nous nous y rendons à notre tour… Il y a déjà trois voitures garées là et, à la lumière de nos phares, je vois dans chacune un conducteur seul. Je m’arrête tout au fond, dans l’obscurité, et nous reprenons nos préliminaires…
L’une des voiture repart, une autre arrive nous éclairant délibérément de ses feux. Les personnes présentes ne peuvent ignorer que nous sommes deux. La première revient et se gare à deux mètres mais personne n’en sort. J’allume l’habitacle, dégage les seins de ma femme pour lui caresser mais toujours aucune réaction. À cet instant, deux autres véhicules entrent sur le parking : ça fait un peu trop de turn over. Nous repartons donc mais je surveille le rétroviseur; je remarque que deux voitures nous suivent ! Notre petit jeu semble prendre une tournure intéressante !
Je pars alors en quête d’un lieu plus tranquille pour aller plus loin. Nous sommes toujours suivis mais je perçois par moment quelques hésitations aux carrefours, à mes demi-tours, alors à chaque fois j’allume les stops à répétitions pour attirer l’attention des deux conducteurs qui semblent comprendre le message. Je trouve enfin une petite ruelle et j’arrête la voiture sous un arbre nous cachant un peu du passage. Les deux véhicules se garent à proximité et leurs conducteurs descendent pour s’approcher lentement.
Je dégage la poitrine de ma femme et la caresse ouvertement; je remonte sa robe pour exhiber sa chatte – oui Elle ne portait pas de culotte au restaurant. Les deux hommes s’approchent de plus en plus jusqu’à être à la vitre, juste à côté d’Elle. Ils ont tous deux la main dans le pantalon et se masturbent. J’ouvre alors la vitre et Elle leur demande de la toucher. Ils ne se font pas prier et se partage son corps : l’un lui malaxant les seins, l’autre lui doigtant la fente. Elle me chuchote “On est fous mais ça m’excite…”. Je l’entends gémir. La ruelle n’est pas très fréquentée mais quelques vélos passent quand même. Nous sommes bien cachés dans la voiture mais nos deux voyeurs sont bien plus visibles et risquent d’attirer l’attention. J’avance donc la voiture dans une impasse et j’ordonne à ma femme d’ouvrir sa portière. Elle s’exécute et demande aux deux messieurs de lui sortir leur bite. Elle en prend une dans chaque main et les branle. Collé dans son dos, je lui caresse les seins en l’encourageant : “Tu m’excites quand tu fais ta salope ! Suce-les… “. Elle se penche en avant et gobe chaque gland à tour de rôle. Je sors de la voiture et la contourne pour avoir un meilleur point de vue : j’adore la voir sucer deux inconnus en pleine ville et je me masturbe en regardant sa bouche passer d’une bite à l’autre. Pendant qu’Elle s’attarde sur l’un, l’autre la doigte au point de nous faire entendre la jolie petite musique de sa fente qui mouille. Elle leur demande alors de lui gicler sur les seins ce que le premier ne tarde pas à faire : il l’arrose abondamment de plusieurs jets bien chauds, m’avouera-t-Elle après coup. Je suis trop excité : je lui demande de sortir de la voiture, la penche en avant et la prends en levrette pour poussant sa tête vers le sexe du deuxième inconnu. Je la baise sauvagement, sa bouche s’empalant sur sa queue à chaque mouvement de reins que je lui imprime. Je me retiens pour ne pas jouir trop vite, j’aimerais qu’Elle fasse gicler l’autre homme avant… Mais une lumière s’allume brutalement : nous sursautons, je me retire, Elle se rassoit précipitamment dans la voiture et les deux hommes se rhabillent tant bien que mal.
Je comprends alors qu’il s’agit d’une lampe extérieure à détection de présence : nous nous sommes probablement trop agités, émettant un “point chaud” dans les infrarouges réveillant ainsi l’éclairage automatique. Malheureusement, nous sommes désormais en pleine lumière, bien visibles des habitants de l’immeuble et la surprise a nettement entamé notre exictation ! Nos invités nous remercient et nous disent au revoir. De notre côté nous rentrons sagement à la maison, tout excités par cette expérience inédite :
UN VRAI DOGGING IMPROVISÉ EN PLEINE VILLE…
Pêle-M’Elle n°3
Confidenti’Elle n° 10
Confidenti’Elle n° 9
Confidenti’Elle n° 7
Confidenti’Elle n° 3
Confidenti’Elle n° 1
C’est parti pour une nouvelle (ancienne) série ! Ces photos ont été faites grâce à notre ami qui à l’époque occupait ce bureau… Nous faisions sa connaissance ce soir-là, sans nous douter que quelques années plus tard nous partirions en vacances avec lui ! Une belle rencontre donc, qui avait commencé de la plus belle des manières, vous allez le voir !
Inhabitu’Elle
ELLE : Par ce beau samedi ensoleillé, nous avons envie de profiter de ces premières chaleurs printanières. Nous voilà donc partis pour un joli parc. J’ai sorti le grand jeu : porte-jarretelles, jupe courte, soutien gorge push-up qui me fait un décolleté d’enfer sous un chemisier transparent et veste tailleur. Vu l’endroit où nous nous rendons, pas de talons aiguilles mais des bottines. Mon challenge du jour est simple : allumer un homme seul, le draguer et éventuellement le sucer (ou plus…). Pour pousser le jeu jusqu’au bout, Lui me dépose à une entrée et emprunte celle à l’autre bout du parc.
Peu de monde, c’est parfait ! Je trouve un banc, Lui n’est jamais loin mais toujours à bonne distance. Un homme seul passe devant moi mais ne s’arrête pas… Cinq minutes après, le revoilà… Il semble intéressé par le haut des bas assez visibles sous ma jupe… Il fait des va-et-vient, s’éloigne un peu pour me mater de loin à travers les arbres puis revient s’assoir à quelques mètres seulement… Il semble ferré ! Je joue à croiser mes cuisses de plus en plus haut jusqu’à ce qu’il aperçoive les attaches de mon porte-jarretelles – d’un rouge qui ne passe pas inaperçu.
LUI : Entré par l’autre bout du parc, je la retrouve assise sur un banc, la jupe assez haute sur les cuisses. Je me pose sur un tronc, à quelques mètres, pour faire discrètement une ou deux photos de ses belles cuisses gainées. Voyant un homme passé plusieurs fois en la matant, je m’éloigne pour lui laisser le champs libre. Il s’assoit très vite à ma place, un point de vue idéal…
ELLE : Comme il y a des enfants pas loin, je ne suis pas à l’aise et préfère partir en quête d’un lieu plus isolé. J’en informe Lui par téléphone et je me lève. Le charmant inconnu me suit de loin…
Arrivée au petit étang auquel je pensais… Zut, il y a du monde, des familles ! Je trouve un petit chemin que je commence à monter… Mon admirateur est à moins de 10 mètres derrière, mais Lui n’est pas là. Re-zut : le chemin est une impasse, je dois faire demi-tour; je croise alors le bel inconnu : il s’avère être très mignon, j’ai de la chance. Il engage la conversation, me demandant s’il peut m’accompagner dans ma balade; j’accepte volontiers… J’ai le coeur battant; je commence à avoir très chaud car la situation est très excitante. La conversation devient très vite coquine : il me complimente sur ma tenue, me précisant qu’il a vu mon porte-jarretelles. Au hasard un mouvement, ma veste s’écarte et ses yeux se rivent sur mon décolleté, fortement amplifié par le soutien-gorge push-up. Je lui demande s’il aimerait en voir plus et évidement il accepte; nous partons alors à la recherche d’un coin isolé.
LUI : L’inconnu hésitant à la suivre, je suis obligé de rester très loin en arrière et je finis par les perdre de vue. J’accélère le pas, d’autant plus fébrile que j’ai compris, au téléphone, qu’il l’a abordée et qu’Elle ne peut donc plus me parler ouvertement. Pas question de la laisser seule avec un inconnu et encore moins de rater la suite des événements. Nous arrivons à nous comprendre pour nous retrouver.
ELLE : Mon voyeur et moi montons le sentier, j’ai très chaud et la température extérieure n’est pas la seule responsable ! J’aperçois mon homme caché dans les bois : ouf ! On trouve rapidement un coin, je sais que Lui n’est pas loin, je sais qu’au moindre souci il interviendra. Pour une première c’est très important. Je sais aussi qu’il a sorti son gros zoom (de son appareil photo, qu’est ce que vous imaginez ?) et qu’il va essayer d’immortaliser cette grande première ! Très vite, mon amant improvisé soulève ma jupe, me caresse, il découvre mon porte jarretelles et mon sexe : oups, je n’ai pas de culotte !
LUI : Je les vois quitter le chemin et se cacher dans les buis. Je m’approche à couvert pour ne rien rater. Je fais quelques photos à travers les arbres : pas facile… Je rejoins le chemin pour changer de point de vue et là je constate qu’ils sont très visibles à la sortie d’un virage !!! N’importe qui pourrait les surprendre. J’essaie d’appeler Elle pour la prévenir; Elle est trop occupée pour répondre… Que faire… Je guette à droite à gauche, inquiet qu’un VTT arrive trop vite pour être entendu.
ELLE : Mon téléphone sonne une fois, puis une deuxième… Je sais que c’est Lui, mais on est occupés ! Les caresses s’accélèrent, je sors sa queue, épilée et de belle taille, que je m’empresse de sucer. Il me prévient qu’un homme nous observe, je le rassure en lui disant que cela ne me dérange pas.
LUI : Euréka ! Je m’approche, jouant le rôle d’un second voyeur. Quand le coquin m’entend arriver il lève les yeux et je lui demande si je peux me joindre à eux. Il me répond « il faut demander à la dame… ». Ouf, le stratagème a fonctionné. Je les entraine un peu plus à l’écart dans le sous-bois pour être définitivement tranquilles
ELLE : Cette situation est excitante au possible ! Me voilà donc en présence de deux beaux « inconnus ». Je passe d’une bite a l’autre, leurs mains se relaient sur ma chatte. Mon amant n’hésite pas à doigter mon petit trou pendant que mon « faux voyeur » me fouille la chatte. Mon orgasme monte, puissant, fulgurant !
Le désir de me faire prendre par ces deux beaux sexes est trop fort. Je sors des préservatifs de mon sac et leur tend. Lui est le premier à me baiser pendant que l’inconnu me tend son chibre pour que je le suce.
On inverse les rôles mais mon amant d’un après-midi n’arrive pas à me pénétrer. Ce n’est pas grave, je le suce, il me caresse, Lui me doigte très vite, tellement bien que je lui gicle sur la main et même l’avant bras ! Quelle inondation ! Mes cuisses, mes bas et même mes bottines sont trempés… Cela faisait longtemps que je n’avais pas autant mouillé ! Pour conclure ce beau moment très hot, ils me giclent tous les deux sur les seins.
Une fois rhabillés, ils me raccompagnent vers l’entrée du parc. Comme souvent dans ces moments libertins, je découvre, après coup, leurs prénoms et eux le mien (bon d’accord, je n’en découvre qu’un seul 😉).
Je regagne la voiture, tellement fière d’avoir pu faire cela : quelle poussée d’adrénaline dans un premier temps mais quel plaisir aussi !
Lui me rejoint à la voiture, et me révèle le fin mot de l’histoire…
LUI : Je dois maintenant lui avouer que le voyeur était un complice…
Voilà des années que nous essayions de réaliser une vraie exhib débouchant sur un passage à l’acte coquin. Mais à chaque fois, soit il y avait trop de monde pour courir le risque, soit nous ne trouvions pas de voyeur. Nous avons pris l’habitude de fréquenter des bois et aires de repos réputés ce qui nous assurent la présence de messieurs très coopératifs. Mais il n’y a alors pas l’excitation de l’exhib, le jeu de dévergonder un inconnu qui ne s’y attendait pas. Jusqu’à aujourd’hui, j’étais toujours à ses côtés lors de nos jeux en extérieur mais depuis quelques temps nous avions le fantasme de jouer « séparément » : Elle faisant croire aux voyeurs qu’Elle est seule, moi n’étant qu’un n-ième inconnu. Combiner les deux objectifs était un vrai défi pour Elle car sa préférence est très nettement d’être « ma pute que j’offre à d’autres hommes ».
J’ai donc triché un peu afin que cette première fois se passe idéalement et qu’Elle prenne confiance en sa capacité à allumer un inconnu sans moi et même lui faire des avances plus qu’explicites. L’objectif est largement atteint : bien que persuadée jusqu’au bout d’avoir affaire à un parfait inconnu non libertin, Elle est passée à l’acte très facilement avec une intense excitation !
Au ciné X n°5
Une belle rencontre
Cette année, nous étions au Ran du Chabrier pour le pont du 15 août. Vous qui connaissez nos pratiques – à lire ou à relire ici – nous avions en tête une semaine de trios et de pluralités dans l’esprit de notre lune de miel libertine l’an dernier. Nous avions d’ailleurs investi dans un gros matelas gonflable à laisser devant la tente pour baiser à la vue de tous; c’est un grand classique du Ran ! Dès notre arrivée nous avons participé à un apéro géant pour fêter l’anniversaire de Hans, un habitué du camping – vous pouvez visiter son blog ici. Et nous avons rencontré SB un couple adorable avec qui nous avons créé des liens uniques. Après 12 ans de libertinage, nous n’avions jamais ressenti une telle sensualité et une complicité aussi forte; pourtant nous avons déjà des amis libertins remarquables au Moloko. Nous avons passé des heures à discuter, de sexe mais pas que, et à coquiner à 4; parfois dans une ambiance très cosy sous notre tente et parfois en plein air sous les regards excités d’une dizaine d’hommes seuls et de quelques couples. Cette fois-là d’ailleurs, après une intense sodomie, nous prîmes Elle en double pénétration. Elle cria si fort son plaisir que j’en ai eu mal aux oreilles et que le lendemain matin tout le camping lui faisait de petites allusions coquines… Pour ceux qui ne connaissent pas, le “cri du Ran” est une véritable institution : les femmes, et parfois les hommes, osent beaucoup plus extérioriser leurs orgasmes !
Qu’en dit-Elle ?
“À quoi est-ce dû ? Je n’en sais sais rien… Peut-être à toutes ces discussions préalables au cours desquelles nous avons parlé de nos pratiques, et donc de la sodomie; peut-être de l’utilisation de sextoys pour titiller mon clitoris… Toujours est-il que j’ai vraiment eu l’impression de passer un cap ce soir-là. Depuis, j’adore me faire enculer : ça me procure des orgasmes très intenses… Même si à la maison je ne peux pas crier comme au Ran ! “ – Elle
Il est vrai que depuis notre retour, la sodomie est devenue un réel plaisir partagé. À chaque fois je suis surpris de la facilité avec laquelle j’arrive désormais à l’enculer – malgré la bonne taille de mon sexe – et encore plus étonné de la puissance des orgasmes que ça nous procure.
Bref, nous nous sommes laissés surprendre par le hasard des rencontres et celle-ci marquera notre vie. D’autant plus que nos nouveaux amis n’habitent pas loin ! De belles aventures à venir…
Les fantasmes de Lui n°2
État
LES FANTASMES DE LUI
N°2
À l’approche de notre mariage, Elle cherchait de jolis talons aiguilles d’une couleur bien précise – qui n’était pas à la mode cet été-là bien évidemment. Elle m’entraîna donc dans un certain nombre de magasins de chaussures de Lyon à la recherche de “la” paire. Après deux après-midis à battre le pavé en vain, Elle trouva un moyen de me motiver pour la troisième sortie. Elle mit un porte-jarretelles, des bas et une mini jupe. La perspective d’un jeu d’exhib m’émoustilla assez pour me faire oublier ma fatigue.
Nous fîmes une halte dans un tout petit magasin de la presqu’île, tenu par un homme d’une quarantaine d’année. Vous vous doutez qu’il s’empressa pour lui enfiler lui-même le moindre escarpin qui Plaisait à ma future femme. Je passais le plus clair de mon temps derrière lui à m’assurer de la vue dont il pouvait bénéficier. Il eu largement l’occasion de voir le haut des bas et les attaches du porte-jarretelle qui les retenaient. Elle fit preuve, ce jour-là, d’une certaine retenue, tirant sa jupe vers le bas à chaque fois qu’Elle se levait. Néanmoins, cela dût être suffisant pour stimuler l’imagination du commerçant car il lui proposa très spontanément une petite remise de 15% sur la paire de ses rêves.
Depuis, Elle sait que je fantasme sur l’idée de retourner dans ce magasin particulier. Elle est d’ailleurs assez émoustillée à l’idée de porter ce jour-là de très jolis bas retenus par un porte-jarretelles à peine dissimulé sous une jupe encore plus courte. Ni culotte, ni string, sa chatte fraichement épilée devra être outrageusement visible au moindre mouvement de cuisse. J’imagine simuler un appel téléphonique pour sortir du magasin et rester sur le trottoir à observer la scène à travers la vitrine. Je vois déjà le vendeur revenir de sa réserve avec une pile de cartons, s’assoir face à Elle sur ces petits tabourets spécialisés sur lequel le client peut poser son pied. Il lui enlèvera lui-même les talons qu’Elle portera ce jour-là et lui passera tour à tour des escarpins tous aussi hauts et beaux les uns que les autres. Je veux observer les réactions de cet inconnu quand, à chaque changement de pied, il verra la fente lisse de ma femme s’entrouvrir. Je veux voir son regard rivé sur son intimité et la voir, Elle, faire durer le jeu paire après paire. À chacune, Elle se lèvera pour faire quelques pas et demander à son serviteur d’un jour si cette hauteur de talon met bien en valeurs sa cambrure qu’Elle exagèrera en se déhanchant. Je les observerai à distance, me faisant oublier, afin qu’ils s’excitent mutuellement au point de s’autoriser des mots et des gestes que ma présence pourrait réfréner. Je sais, qu’à chaque instant, Elle sentira mon regard sur sa nuque, qu’Elle s’accrochera à cette description de ce fantasme pour me faire la cadeau de son dépassement de soi. Quand le vendeur lui ôtera la dernière paire, Elle glissera son pied nu vers son entrejambe et ira vérifier l’effet de son exhib sur le sexe de cet inconnu. À travers le pantalon, jouant avec la braguette, Elle caressera alors cette énorme bosse bien dure du bout de ses orteils…
à suivre…
Week-end de l’Ascension
Quelques extraits de nos tweets de ce week-end de l’Ascension à suivre sur @Exhibicouple
Devinez combien d’H lui ont giclé sur les seins ? #bukkake #hotWife #exhib #libertin pic.twitter.com/s5m9CHDy6V
— Exhibicouple (@Exhibicouple) 24 mai 2017
Remonter sa robe sexy aux lavabo et se faire capter par ……….. un prêtre ✅ 😊😇 #sexy #exhib #flashing pic.twitter.com/YvDjvQJd2J
— Exhibicouple (@Exhibicouple) 24 mai 2017
En route pour notre escapade coquine! #ngot #pussy #exhib pic.twitter.com/B7Q0NVjAnF
— Exhibicouple (@Exhibicouple) 25 mai 2017
Un petit hôtel sympa #flashing #Hotwife #NGOT #ass #exhib pic.twitter.com/UM9sWqZS25
— Exhibicouple (@Exhibicouple) 25 mai 2017
Pourquoi est-ce que tout le monde me mate? #exhib pic.twitter.com/ztgP5vEsej
— Exhibicouple (@Exhibicouple) 26 mai 2017
Citius, altius, fortius
Voici treize ans que nous nous découvrons mutuellement dans le libertinage (et bientôt 20 dans notre couple). Nous n’avons aucun but précis, l’important étant le chemin ! Ce chemin n’est pas toujours facile : nous faisons parfois du surplace, nous doutons de nos choix, nous perdons aussi l’envie et remettons même cette philosophie existentialiste en question. Très souvent, ces passages à vide sont suivis d’une période de grâce, de dépassement de soi qui nous fait à nouveau voir le monde “normal” d’un autre oeil. Et bien, samedi soir, fut un de ces moments-là… Des trios, nous en avons déjà un certain nombre à notre actif, mais notre dernier partenaire de jeux érotiques nous a accompagné dans une ascension mémorable.
Nous étions donc au sauna Histoire d’eau – qui s’est amélioré soit dit en passant. Après un court passage au jacuzzi, nous entrons dans le hammam. Assez étonnés de le trouver plein à craquer nous nous trouvons une petit place et admirons plusieurs femmes sucer leurs partenaires. Je demande à Elle de me sucer et j’invite mon voisin, un grand black, à la caresser. Assez vite Elle passe entre ses cuisses et se régale de la douceur de sa queue.
Nous le retrouvons quelques instants plus tard dans un des nouveaux salons du premier étage. Elle nous suce alternativement, gémissant sous mes coups de langue et les doigts de notre invité. Sa bite est énorme, bien plus longue que la mienne mais légèrement moins large; son gland noir brille sous le faible éclairage. Très excitée, Elle écarte vite les cuisses et lui demande de la prendre. Quand il lui enfonce son sexe dans la chatte, Elle laisse échapper sa surprise “Oh elle est grosse ta queue ! Elle est bonnnnneeee !”. En quelques coups de rein puissants, son amant la fait jouir : je n’ai jamais entendu ma femme crier aussi fort de plaisir et je suis aux anges ! Par trois fois, il la laisse reprendre son souffle puis la fait de nouveau hurler son orgasme. Puis la prenant à mon tour, j’attrape cette magnifique bite à pleine main pour l’enfoncer moi-même dans la bouche de ma salope. Je tapote le gland sur son visage et sa langue tout en la baisant lentement.
Changeant encore de position, Elle s’empale sur ce gigantesque pieu; il bouge lentement du bassin, la faisant gémir encore et encore. Je lui écarte les fesses et lui enfonce un, puis deux doigts dans le cul… Je sens la pine de F. – notre partenaire – aller et venir dans le ventre de ma femme. Extrêment excitant ! Elle semble jouir en continue sous mes doigts. Alors, n’y croyant pas moi-même, j’approche mon gland de son petit trou et j’appuie lentement. Elle a expérimenté la double pénétration seulement dix jours auparavant avec la complicité de notre ami @xavmoody, mais compte tenu de la taille du sexe de F. et du mien, je ne crois pas un instant cela possible. Je pousse donc lentement, juste pour l’exciter par cette simple caresse anale : je sais que l’idée va la rendre folle. Mais quelle n’est pas ma surprise en sentant son petit trou s’ouvrir ! J’arrive à l’enculer avec une facilité déconcertante – c’est même plus facile qu’une “simple” sodomie à la maison 😄 ! Ses “Maiiiis tu m’encuuules… Oh je les sens bien vos deux queues ! C’est boooonnn !” ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’Elle prend à se faire prendre en sandwich par nos deux énormes pines. Incroyable !!! J’accélère même le rythme, l’enculant comme jamais je n’y étais encore arrivé… Par deux fois, je sens son corps se contracter et se détendre violemment sous des orgasmes fulgurants, comme la corde d’un arc vibre en relâchant la flèche.
Après une petite pause, les deux amants se mettent à genou face à face et F. la doigte adroitement. Un puis deux doigts lui fouillant la chatte, Elle gicle abondamment sur cette main qui la fait jouir… Elle s’allonge ensuite pour que je la prenne dans notre position préférée : ses pieds contre mon torse. Notre partenaire lui glisse deux doigts dans le petit trou ce qui a pour effet de resserrer l’étreinte de son vagin sur ma queue. Elle poussa de longs cris de plasiri et nous asperge. Elle inonde copieusement le matelas de sa jouissance ! Ne pouvant plus me retenir, je lâche mon foutre en Elle en poussant un cri rauque.
Avant même que j’ai repris mon souffle, Elle se met en levrette. Alors que je m’attendais à ce que F. la prenne comme une chienne, je le vois, à ma grande surprise, appuyer son gland sur son petit trou. Elle ne proteste même pas ! Il la sodomise de plus en plus profondément et de plus en plus rapidement. Voyant son amant l’enculer aussi aisément mon excitation ne tarde pas à me revenir, encore plus raide ! Je viens baiser la bouche de ma pute pendant q’un grand black l’encule… 😛
Après tout ces ébats torrides, la chaleur étant devenue insupportable dans le salon, nous descendons prendre un verre avec F. Nous découvrons avec plaisir que, non content d’être un amant exceptionnel et exceptionnellement bien monté), il est aussi de très bonne compagnie.
Ce trio restera dans nos mémoires comme le plus torride que nous ayons vécu (à ce jour 😜).
Merci à toi, F. – et si tu lis cet article, envoie-nous un petit message !