Autant vous prévenir tout de suite, vous ne verrez ni photo, ni vidéo de cette expérience alors je vais essayer de mettre en mots ce que je mets d’habitude en images.
Nous commençons la soirée dans un bon restaurant. Pour l’occasion Elle porte une robe noire courte et très décolletée avec de jolis talons aiguilles rouges carmin. Dès qu’Elle se penche le tissu s’écarte largement dévoilant ses deux seins jusqu’aux tétons. Après avoir bien mangé et bien bu, Elle me dit vouloir “s’amuser un peu”. Je sais ce qu’Elle veut et prends donc la direction du quartier Gerland. C’est un coin réputé pour ses parkings où trainent aussi bien des homosexuels en quête de rencontres d’un soir que des couples exhibitionnistes et des prostituées. Malgré (ou à cause de) cette très ancienne réputation, nous n’avons jamais fait quoique ce soit là-bas. Mais ce soir-là je décide de pousser le jeu un peu plus loin et de prendre le temps de ferrer correctement un ou deux poissons.
Nous commençons par un petit tour au Palais des Sports; sur son immense parking nous croisons bien quelques voitures mais elles semblent nous ignorer. Nous repartons en direction du parc Gerland qui, à notre grande surprise, est encore ouvert : nous avons bien envie d’aller y faire l’amour mais après lecture attentive des panneaux il ferme dans une demi-heure. Profitant des nombreuses places libres devant l’entrée, je coupe le moteur; nous nous embrassons, nous nous caressons, tout en guettant si des gens approchent. Nous aimerions bien qu’un ou deux hommes passent mais nous faisons très attention car des voix d’enfants émanent du parc. Je remarque quelques voitures qui entrent et sortent d’un tout petit parking particulièrement sombre. Nous nous y rendons à notre tour… Il y a déjà trois voitures garées là et, à la lumière de nos phares, je vois dans chacune un conducteur seul. Je m’arrête tout au fond, dans l’obscurité, et nous reprenons nos préliminaires…
L’une des voiture repart, une autre arrive nous éclairant délibérément de ses feux. Les personnes présentes ne peuvent ignorer que nous sommes deux. La première revient et se gare à deux mètres mais personne n’en sort. J’allume l’habitacle, dégage les seins de ma femme pour lui caresser mais toujours aucune réaction. À cet instant, deux autres véhicules entrent sur le parking : ça fait un peu trop de turn over. Nous repartons donc mais je surveille le rétroviseur; je remarque que deux voitures nous suivent ! Notre petit jeu semble prendre une tournure intéressante !
Je pars alors en quête d’un lieu plus tranquille pour aller plus loin. Nous sommes toujours suivis mais je perçois par moment quelques hésitations aux carrefours, à mes demi-tours, alors à chaque fois j’allume les stops à répétitions pour attirer l’attention des deux conducteurs qui semblent comprendre le message. Je trouve enfin une petite ruelle et j’arrête la voiture sous un arbre nous cachant un peu du passage. Les deux véhicules se garent à proximité et leurs conducteurs descendent pour s’approcher lentement.
Je dégage la poitrine de ma femme et la caresse ouvertement; je remonte sa robe pour exhiber sa chatte – oui Elle ne portait pas de culotte au restaurant. Les deux hommes s’approchent de plus en plus jusqu’à être à la vitre, juste à côté d’Elle. Ils ont tous deux la main dans le pantalon et se masturbent. J’ouvre alors la vitre et Elle leur demande de la toucher. Ils ne se font pas prier et se partage son corps : l’un lui malaxant les seins, l’autre lui doigtant la fente. Elle me chuchote “On est fous mais ça m’excite…”. Je l’entends gémir. La ruelle n’est pas très fréquentée mais quelques vélos passent quand même. Nous sommes bien cachés dans la voiture mais nos deux voyeurs sont bien plus visibles et risquent d’attirer l’attention. J’avance donc la voiture dans une impasse et j’ordonne à ma femme d’ouvrir sa portière. Elle s’exécute et demande aux deux messieurs de lui sortir leur bite. Elle en prend une dans chaque main et les branle. Collé dans son dos, je lui caresse les seins en l’encourageant : “Tu m’excites quand tu fais ta salope ! Suce-les… “. Elle se penche en avant et gobe chaque gland à tour de rôle. Je sors de la voiture et la contourne pour avoir un meilleur point de vue : j’adore la voir sucer deux inconnus en pleine ville et je me masturbe en regardant sa bouche passer d’une bite à l’autre. Pendant qu’Elle s’attarde sur l’un, l’autre la doigte au point de nous faire entendre la jolie petite musique de sa fente qui mouille. Elle leur demande alors de lui gicler sur les seins ce que le premier ne tarde pas à faire : il l’arrose abondamment de plusieurs jets bien chauds, m’avouera-t-Elle après coup. Je suis trop excité : je lui demande de sortir de la voiture, la penche en avant et la prends en levrette pour poussant sa tête vers le sexe du deuxième inconnu. Je la baise sauvagement, sa bouche s’empalant sur sa queue à chaque mouvement de reins que je lui imprime. Je me retiens pour ne pas jouir trop vite, j’aimerais qu’Elle fasse gicler l’autre homme avant… Mais une lumière s’allume brutalement : nous sursautons, je me retire, Elle se rassoit précipitamment dans la voiture et les deux hommes se rhabillent tant bien que mal.
Je comprends alors qu’il s’agit d’une lampe extérieure à détection de présence : nous nous sommes probablement trop agités, émettant un “point chaud” dans les infrarouges réveillant ainsi l’éclairage automatique. Malheureusement, nous sommes désormais en pleine lumière, bien visibles des habitants de l’immeuble et la surprise a nettement entamé notre exictation ! Nos invités nous remercient et nous disent au revoir. De notre côté nous rentrons sagement à la maison, tout excités par cette expérience inédite :
UN VRAI DOGGING IMPROVISÉ EN PLEINE VILLE…